Certaines personnes pensent que le sport et le végétarisme sont incompatibles, car l’alimentation influe sur l’endurance, les taux de récupération et les performances. Nous respectons le choix de chacun et aujourd’hui, nous allons voir comment un sportif qui a renoncé aux produits d’origine animale peut adapter son alimentation et quels sont les éléments auxquels il doit faire attention pour ne pas nuire à sa santé et obtenir de bons résultats sportifs. A cet effet, il est possible turinabol achat en France à un prix bas
Qu’est-ce que le végétarisme ?
Le végétarisme est défini de manière générale comme le fait d’éviter la viande, le poulet et le poisson. Mais au sein du végétarisme, il existe plusieurs courants, en voici quelques-uns :
Aliments crus – manger des aliments végétaux non transformés ;
Fructorianisme – le régime alimentaire ne comporte que des fruits, des graines et des légumineuses. Mais seulement s’ils sont récoltés.
si elles ont été récoltées sans nuire au monde végétal.
Le véganisme est davantage une idéologie qu’un régime alimentaire. Rejet de tout produit d’origine animale. Vous ne pouvez pas manger d’animaux, de produits laitiers, de miel ou même de produits de boulangerie utilisant des œufs. Outre le régime alimentaire, il faut éviter de porter de la fourrure, du cuir ou d’utiliser des produits cosmétiques testés sur des animaux.
Les risques du végétarisme et du véganisme
Les risques sont surtout associés aux régimes végétaliens et aux régimes à base de viande crue, dans lesquels tous les produits animaux sont éliminés. Les problèmes de santé peuvent être évités en sachant quels nutriments manquent dans un régime à base de plantes et en les ajoutant au régime.
Protéine
Les protéines sont un élément constitutif de vos muscles, de votre système hormonal et de votre système immunitaire. Il est important pour la récupération après un effort et l’augmentation des performances sportives.
Les végétariens peuvent sembler manquer de protéines, mais cela dépend de votre régime alimentaire. Les végétariens classiques n’ont aucun problème de protéines : les produits laitiers et les œufs couvrent entièrement leurs besoins.
Les végétaliens et les mangeurs de viande crue ont plus de mal. Les protéines animales sont mieux digérées et ont une composition complète en acides aminés. Les protéines végétales sont limitées dans leur composition ; néanmoins, on peut obtenir suffisamment de protéines à partir des aliments végétaux. Ce n’est pas la protéine elle-même qui est importante, mais sa composition en acides aminés. Les protéines sont constituées de diverses combinaisons de 28 acides aminés. Lorsque vous les obtenez tous, même à partir d’aliments différents, vous n’avez aucun problème de protéines. Cela peut être obtenu par une alimentation variée : légumineuses, graines, noix.
Les besoins quotidiens en protéines d’une personne normale sont de 1 g/kg. Les coureurs ont besoin de 1,5 à 2,5 g/kg de protéines par jour, en fonction de la charge. Par exemple, les coureurs de marathon et d’ultramarathon ont besoin de jusqu’à 3 g/kg pendant l’effort. Un homme pesant 70 kg a besoin d’au moins 70 g de protéines par jour. Cela représente environ 5 œufs ou 350 g de fromage blanc.
Fer
- Le fer est essentiel pour l’hémoglobine, les globules rouges qui transportent l’oxygène. Une carence en fer peut entraîner une anémie, de la fatigue, une baisse des performances et une hypoxie.
- Le fer est bien absorbé en combinaison avec une protéine spéciale, que l’on ne trouve que dans les produits carnés ; il ne peut être obtenu à partir de plantes. Le fer des aliments végétaux n’est pas facilement absorbé et les coureurs végétaliens doivent donc prendre des compléments en fer. Le dosage et le moment de la supplémentation en fer ne peuvent être déterminés que par votre médecin.
La dose recommandée est de 10 à 20 mg de fer par jour.
Calcium
- Le calcium est le matériau de base des os et des dents. Elle est également responsable du système nerveux, de la coagulation du sang, de la contraction des muscles et de la fonction cardiaque.
- L’apport quotidien recommandé est de 800 à 1 000 mg. Il s’agit d’un verre de lait. Le lait végétal enrichi en calcium convient aux végétaliens.
Zinc
- Le zinc est nécessaire à la fonction hormonale, à la synthèse des protéines et au métabolisme des glucides.
- L’apport quotidien est de 10 à 15 mg.
- Le zinc se trouve principalement dans les produits d’origine animale. Les végétaliens doivent donc se procurer des suppléments.
Vitamine B12
Une des vitamines les plus importantes pour les végétaliens. Comme aucun aliment végétal n’en contient, une dose quotidienne de 3 microns est difficile à obtenir. La vitamine B12 est stockée dans l’organisme et utilisée lentement, de sorte qu’une pénurie peut prendre un certain temps avant de se manifester. Une réserve de vitamine B12 avant les premiers symptômes peut suffire pour 1 à 3 ans. Progressivement, le système nerveux va souffrir, la récupération du stress sera retardée et des signes d’anémie apparaîtront.
Les végétaliens ne peuvent obtenir de la vitamine B12 qu’à partir de préparations. Il n’y a aucune différence avec l’obtention de la vitamine à partir de l’alimentation.